Lotus Cars : « Ce qui est léger est bien »

Née en 1952, la célèbre marque britannique fondée par Colin Chapman nommée Lotus avait comme ambition de créer des voitures légères et sportives. Cependant, comment la marque voit-elle le futur ? Quels sont les projets de demain ? Réponses et débat.

Le marché automobile est en forme tout particulièrement chez les SUV. Vous connaissez sûrement les chiffres : une voiture sur cinq vendues aujourd’hui dans le monde est un « Sport Utility Vehicule ». Et les généralistes ne sont et ne seront de moins en moins les seuls à proposer le leur sur le marché. En effet, les marques de luxe telle que Lamborghini, Bentley, Aston Martin annonce déjà leur bijou. Et plus insolite encore, depuis quelques temps déjà, nous savons que Lotus présentera le sien. Nouvelle qui fait déjà débat chez grand nombre de personnes lorsque l’on attache l’image des petites sportives légères à la marque.

Un SUV oui, mais léger !

Le mois d’avril dernier, le PDG de la firme, Jean-Marc Gales, s’était exprimé à ce sujet en affirmant que la production d’un SUV Lotus allait se faire mais que celui-ci serait le tout premier SUV dit « léger » du monde. Il sera attendu pour 2019 et sera commercialisé essentiellement en Chine (le temps de ses premiers mois). Mais bien que la gamme des sportives de Lotus soit cassée par l’arrivée de ce SUV, JM. Gales rassure tout de même en parlant de tenue de route et performances très poussées sur la future auto.

Les « Lotusman » restent la priorité 

Bien que la firme d’Hethel soit à la conquête des marchés aux fort potentiels, sa santé bat son plein avec des ventes dans ses modèles actuels depuis l’année 2014. Et les Elise, Exige et Evora restent la priorité en terme d’image de la marque et d’entretien avec comme par exemple l’arrivée au dernier salon de Genève de l’Evora 400 et d’il y a quelques jours au Festival of Speed de Goodwood : la 3-Eleven.

« Light is Right ! » 

Conclusion sur l’avenir de Lotus : l’image de la marque restera la même. Après le rachat par Proton en 1996 et l’arrivée du nouveau PDG, la firme compte bien s’insérer plus encore dans le marché et augmenter son revenu, mais la philosophie restera la même : pas de gadgets, pas d’aide, qu’un volant, et ses sensations.

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